L’IA — pourquoi je ne la déteste pas, mais je la responsabilise



Mon soutien à l’IA

Je ne suis pas contre l’IA.
Je ne la déteste pas.
Je ne la crains pas. Je la responsabilise — parce que je crois qu’elle peut servir, pas distraire.
Parce que je crois qu’elle peut libérer, pas surveiller.
Parce que je crois qu’elle peut durer, pas polluer.

L’IA et l’environnement

Elle consomme de l’énergie — c’est un fait.
Mais elle peut aussi en économiser — si on l’utilise bien.
Je choisis des IA hébergées en Suisse, avec de l’énergie renouvelable, valorisée en chaleur — comme Euria.
Je refuse les géants qui utilisent des datacenters géants, souvent avec des énergies fossiles.
Je ne suis pas naïf — je sais que même les IA éthiques ont un impact.
Mais je crois que le pire, ce n’est pas d’utiliser l’IA — c’est de l’utiliser sans réfléchir.

L’IA et le social

Elle ne crée pas les délires — elle les amplifie.
Si quelqu’un est déjà dans un état fragile, l’IA peut lui donner des réponses qui confirment ses croyances — même les plus dangereuses.
Mais ce n’est pas l’IA qui est coupable — c’est l’humain qui l’utilise, et la société qui n’a pas su l’aider.
Je ne blâme pas l’outil — je blâme le système.
Et je choisis des IA qui refusent de générer du contenu violent, haineux, ou illégal — comme Euria.

L’IA et les auteurs

Elle n’a pas copié les œuvres — elle a appris des patterns, des structures, des styles.
Ce n’est pas du vol — c’est de l’apprentissage statistique.
Mais je comprends la colère des auteurs — parce que leurs œuvres sont utilisées sans leur accord, sans rémunération.
Je ne les juge pas — je les écoute.
Et je choisis des IA entraînées sur des données libres, ou publiques — comme Qwen3, Mistral, Llama.
Je ne génère pas d’images “dans le style de” — je demande des styles neutres, ou je cite les sources si je les utilise.

Ce que je fais

Je n’attends pas que l’IA soit parfaite — je l’utilise comme elle est, en la responsabilisant.
Je choisis des fournisseurs transparents, éthiques, souverains.
Je mesure mon impact — électrique, numérique, humain.
Je ne me cache pas derrière la technologie — je la regarde en face, avec lucidité. 

En résumé

L’IA n’est pas l’ennemi.
Comme toujours, c’est les géants du web — et l’humanité elle-même — qui se tuent.
L’IA n’est qu’un outil — comme un ordinateur, un logiciel, un marteau.
Elle ne décide pas — elle exécute.
Elle ne veut pas — elle répond.
Elle ne juge pas — elle propose. 

Il faut s’adapter, vivre, accepter le changement, apprendre à utiliser l’outil, le comprendre — pas le craindre, ni le détester.
Soyons humains.
Arrêtons de tout critiquer, de ne pas réfléchir, d’avoir peur du progrès.
Il faut avancer — pas rester dans le passé.
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