Bylse

Toute marque a une histoire...

mais surtout un créateur.



Alors commençons par moi.

Je m’appelle Lasserre Urruty Quentin Je suis né en 2003 à Dax. Mes premières années, je les ai passées en région parisienne, avant de revenir dans les Landes, près de ma famille, où j’ai grandi pendant plus de treize ans.

Pau, quatre années déterminantes.


C’est là que j’ai connu mes premiers vrais amis, mention spéciale à Paul, Théo, Maxime, Yannis… C'est aussi la bas que j'ai eu ma première passion qui me faisait sortir : le skate.

J’y ai aussi vécu mes premières histoires d’amour. Trois relations, trois échecs. J’étais trop jeune, en construction. J’ai blessé et j’ai été blessé. La dernière relation m’a laissé une vraie cicatrice. Mes erreurs m’ont permis de devenir meilleur.

C’est à ce moment-là que j'ai changé de nom, je suis devenu Lasserre Urruty Quentin. C'était un nouveau départ, un tournant symbolique. Une décision de me reconstruire, devenir ma légende.

J’ai arrêté le skate, mon oxygène, mon équilibre... j’ai ensuite décidé de rejoindre l’armée.

Là-bas, j’ai trouvé un cadre, une discipline, une rigueur qui m’ont fait grandir. J’ai pu poser les premières pierres de l'homme que je suis aujourd'hui.

Mais rien ne m’avait préparé à la suite.


Rennes, le déclencheur.


Pendant une formation à Rennes, je me suis investi comme bénévole dans une association. J’y ai donné de mon énergie, de mon temps et de l'argent. J’étais heureux de bosser avec cette association, je ne voulais pas passer mes week-ends à jouer au pc, je voulais être utile. Mais après une simple dispute, une fille avec qui j'avais des relations seulement amicales, n’a pas assumé la dispute et a balancé de fausses accusations, sans preuves ni dialogue.
Ces fausses accusations, crues par une majorité biaisée par les rumeurs et les fausses histoires, ont conduit à une exclusion brutale, totalement arbitraire et injustifiée, qui m’a forcé à revoir mes priorités. Je n’avais rien fait de mal. J'ai tenté de me battre, mais la justice coûte cher et va à double vitesse. J'ai abandonné, mais un projet commença à fleurir.
Ce jour-là, j’ai décidé de ne plus accorder ma confiance à la légère.

J’ai tiré un trait sur beaucoup de choses. J’ai choisi de me recentrer sur ce que je pouvais contrôler : Battir un monde meilleur, sans tout ça.

Mon but ? Créer un univers. Le mien. Un monde plus éthique, respectueux, apaisé, libre en dehors de tout ce mal ambiant.

C’est à cette période qu’un ami m’a parlé d’Infomaniak et ma vie numérique a basculé.



Renaissance numérique


J’ai découvert que je pouvais tout reprendre en main : mon nom de domaine, mes outils, mes données, mes projets. J’ai entamé ce que j’appelle ma transition éthique.

J’ai quitté iCloud, Google, Windows, Instagram, X, Snapchat… J’ai laissé derrière moi les géants qui contrôlaient tout, pour des outils plus justes, plus libres, plus humains :
Mastodon, Pixelfed, Linux, un Android dégooglisé, Infomaniak

Un à un, j’ai reconstruit mes fondations. Même Amandine a été surprise par la radicalité de ma démarche mais pour moi, il n’y avait plus de temps à perdre. Il fallait reprendre le contrôle, poser de nouveaux repères.

C’est dans ce mouvement qu’est née Bylse.

Bylse, c’est “By Lasserre”, porté par mon trigramme LSE. Un nom simple, mais puissant. C’est ma réponse au chaos. Un espace où je décide. Où je construis. Où je choisis ce que devrait être le numérique. Un refuge éthique, sans haine, sans toxique. Un lieu de discussion, de création, de solidarité. Loin de la surconsommation, loin du vide. Juste du vrai, du beau, du sens.

Bylse, c’est moi, mais c’est surtout une vision. Celle d’un numérique libre, humain, respectueux. Celle d’un monde où on partage, où on aide, où on construit ensemble. Je ne suis pas parfait. Mais chaque jour, je progresse. Bylse grandit, MisterBylse évolue.

Et si j’ai un objectif dans cette vie, jusqu’à mon dernier souffle, c’est de rendre ce monde, si abîmé, plus beau. De redonner espoir. Mettre mes compétences au service d’un idéal. Créer un monde sans riches qui écrasent, sans puissants qui manipulent, sans haine, ni peur. Un monde plus juste. Plus égalitaire. Plus humain.

Voilà l’idéal que Bylse défend.